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Entartage4

[Seulement pour les lecteurs français Cela est ici le Weblog de la guérilla de communication. Quest-ce que c'est?
Il y a un texte français qui essaye d'expliquer, ce que guérilla de communication est: Regardez!. L'entartage est une technique de la guérilla de communication]

Ein bisschen Schadenfreude angesichts der neuesten Tort-ur von Bernard-Henri Lévy finden wir in einigen französischen Blogs:

Zum Beispiel L'Autre Monde: "Splash!":
Bon je sais, il ne faut pas rigoler du malheur des autres mais il est tellement ridicule lorsqu'il se prend pour un grand philosophe que ce genre d'actes lui permet de redescendre un peu sur Terre."

Finnegans Wake zitiert im Titel die Hymne der l'Internationale Pâtissière:

"Il était un peu moins de 18 heures, ce samedi, quand le représentant officiel de l'Internationale Pâtissière a surgi de la foule : Noël Gaudin, alias l'entarteur, ou le Gloupier. Et paf, une chantilly pour BHL ! Il est alors parti se changer une première fois, il est revenu pour prendre livraison de la seconde tarte à la creme, avant de partir définitivement.

Vexé, pas content, Lévy l'imposteur . Et pendant ce temps là, autour du lieu de l'attentat, le peuple entonnait le chant de ralliement de l'Internationale Pâtissière : "Entartons, entartons, les pompeux cornichons".
Le père Noël existe finalement peut être, et il s'appelle Gaudin.
Chapeau bas, camarade !"



oder in Altermedia Info:
L’”entarté” de nouveau entarté !
"L’entarteur Noël Godin et ses “tueurs à gags de l’Internationale Patissière” ont réussi samedi deux “entartages”
quasiment consécutifs du philosophe français Bernard-Henri Lévy lors du Salon du livre à Paris, a-t-il annoncé dimanche."


Samuel von Authueil findet, das BHL das natürliche Ziel ("l''archétype") aller Tort-uren ist:

BHL au septième entartage

Petite info discrète, Bernard-Henri Lévy s'est fait entarter, vendredi dernier, au salon du livre à Paris. Occupé dignement à dédicacer son dernier opus, et malgré une protection rapprochée, il a été victime de deux entartages à 10 minutes d'intervalle.

Je le sais, c'est méchant, mais je ne peux pas m'empêcher de sourire et d'apprécier. C'est d'autant plus drôle que le bellâtre se prenant très au sérieux, il pique des colères. Il y a des gens qu'on a envie d'entarter, voire qui attirent les tartes. BHL en est l'archétype. Le personnage me hérisse régulièrement, dès que je le vois en photo. Voilà un monstre de prétention, qui se prend pour un soleil culturel alors qu'il est tout juste un feu follet, dont il ne restera pas grand chose après sa disparition. Ramener à leur juste place ces personnages qui se la jouent, c'est une oeuvre de salubrité publique.


In den Kommentaren wird gefordert: "Les photos ! Les photos ! Les photos !"


Demgegenüber heisst es im "Sartre"-Blog von Bernard Lallement ("Chaque homme doit inventer son chemin"), einem begnadeten Schwätzer (dafür hat er auch ein paar nette Kommentare sich eingehandelt):

Il fait partie de ses cibles fétiches. Bernard-Henri Lévy a, de nouveau, été entarté, au Salon du livre, par les « brigades pâtissières » de Noël Godin selon un cérémonial immuable : « Gloup ! Gloup ! Entartons, entartons les pompeux cornichons ! » L’immaculée chemise blanche du philosophe préféré des rombières germanopratines a, encore une fois, été souillée mais l’esprit, lui, reste d’une grande pureté que la moindre pensée ne saurait ternir.

Es sind offensichtlich französische Physik-Studierende, die uns eine wissenschaftliche Abhandlung mit Aide


Entartage

und Solution für's richtige Tortenwerfen liefern:

"Nous avons besoin d'une force de friction qui compense le poids de la tarte."

Entartage1

La force de friction statique est proportionnelle à la force normale appliquée par la tarte sur la main. Celle-ci a la même intensité que la force exercée par la main sur la tarte (action/réaction). Et nous pouvons calculer grâce à la relation fondamentale de la dynamique l'accélération correspondant à cette force. On a :

Formel1

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Via Nouvel Observateur (19.3.2006)

BHL - das ist das Akronym für den dümmsten und eitelsten Philsophen Frankreichs, Bernard-Henri Lévy, wurde jetzt schon zum sechsten und siebten Mal in seiner peinlichen Karriere getortet. Noel Godin und seine Bande hat uns erhört und ist erneut zur Tat geschritten:

"BHL à nouveau entarté: Noël Godin revendique
Dimanche crémeux pour BHL qui s'est vu entarter par deux fois. Et c'est signé Noël Godin.

BRUXELLES. L'entarteur Noël Godin et ses "tueurs à gags de l'Internationale Patissière" ont réussi samedi deux "entartages" quasiment consécutifs du philosophe français Bernard-Henri Lévy lors du Salon du livre à Paris, a-t-il annoncé dimanche.

Ce double "attentat patissier", le septième visant "BHL", a été confirmé par une journaliste de l'hebdomadaire français "Le Nouvel Observateur", Anne Crignon, selon le site internet du magazine."

(La Dernière Heure, 19/03/2006)


Die Neue Zürcher Zeitung (NZZ) (22.03. 2006) berichtet unter der Überschrift:

Sahne für Gurken
Zwischenfall am Pariser Salon du livre


Samstag war's und dicht die Menge, wartend auf dem roten Flur, als ein Kuchen blitzesschnelle ins Gesicht dem Autor fuhr. So jedenfalls schildern französische Medien das jüngste Attentat auf Bernard-Henri Lévy, genannt BHL. Frankreichs formidabler Fernsehphilosoph war gerade dabei, am Pariser Salon du livre sein jüngstes Opus, «American Vertigo», zu signieren, als ihm eine Sahnetorte ins Gesicht klatschte. Kaum hatte er sich frische Kleider angezogen, folgte auch schon die nächste, die ihn dann endgültig in die Flucht trieb - begleitet von der Hymne der «Internationale Pâtissière»: «Torten wir, torten wir / die pompösen Gurken ein!»

Die «Torten-Internationale» ist eine lose Bewegung um den Belgier Noël Godin, der sich in der Nachfolge von Alphonse Allais und den belgischen Surrealisten seit 1968 einem sahnigen «Kreuzzug» gegen Berühmtheiten mit einem überdimensionalen Ego (und einem umgekehrt proportionalen Sinn für Humor) verschrieben hat. Unter den «Eingetorteten» finden sich französische Politiker wie Jean-Pierre Chevènement und Nicolas Sarkozy, aber auch Persönlichkeiten wie Maurice Béjart, Marguerite Duras, Bill Gates, Jean-Luc Godard und Bill Clinton. BHL ist jedoch der Einzige, der bereits mehrfach «eingetortet» wurde: die beiden jüngsten Anschläge mit Sahnebomben mitgezählt, stolze sieben Mal. Das Auftreten am Pariser Buchsalon gleicht so für den Autor der «Eloge des intellectuels» zunehmend einem Kreuzgang: Auch dieses Jahr musste er trotz einem Halbdutzend privaten Leibwächtern und der wachsamen Equipe seines Verlagshauses, Grasset, einmal mehr den Lächerlichkeitstod durch Tortenterror erleiden - le ridicule tue.


Der NZZ-Autor, Marc Zitzmann, meint dann auch noch andere potenzielle KandidatInnen beim "Salon du Livre ausgemacht zu haben. Nun denn, wir haben nichts dagegen:

"Ob der Schaumschläger die Sahne verdient hat, mag jeder selbst entscheiden. Es hätten sich an der Buchmesse auch noch andere pompöse Ziele für die Kommandos der «Internationale Pâtissière» gefunden. Das Thema der diesjährigen Ausgabe, «Francophonie», inspirierte so manchen Offiziellen zu einem jener Diskurse, deren schulterklopfender Paternalismus auf nichtfranzösische Frankophone irritierend wirkt. Bis morgen werden neben vierzig Ehrengästen aus aller Welt - unter ihnen Boubacar Boris Diop, Agota Kristof, Noëlle Revaz und Véronique Tadjo - rund 3000 Autoren aus 1200 Verlagshäusern erwartet. Von der digitalen Revolution - Stichwort «virtuelle Bibliotheken» -, dem Gegenstand mehrerer Konferenzen und Gesprächsrunden, dürften sie alle betroffen sein. BHLs «Eintortung» dagegen wird wohl die meisten kalt gelassen haben."


Der Nouvel Observateur (19.03. 2006) berichtete:

"SALON DU LIVRE

Bernard-Henri Lévy
entarté deux fois


Salon du livre. Alors qu'il était en pleine séance de dédicaces au salon du livre, Bernard-Henri Lévy a subi hier deux "entartages" quasiment consécutifs.

A croire qu'il est abonné. L'écrivain Bernard-Henri Lévy s'est fait entarter samedi 18 mars, alors qu'il venait de s'installer pour une séance de dédicace au salon du livre. D'après ce qu'a rapporté Anne Crignon, journaliste au Nouvel Observateur, BHL est arrivé,"tout en cheveux, de bonne humeur et détendu", sur le stand des éditions Grasset à 18h, encadré de ses propres gardes du corps. Vers 18h10, l'auteur s'est installé pour dédicacer "American Vertigo", son dernier livre, en présence notamment d'Olivier Nora, le président de la maison d'édition.

"BHL était un peu en retrait sur le stand Grasset, comme si on cherchait à le protéger", a raconté au Quotidien perm@nent nouvelobs.com Anne Crignon. "Environ 70 personnes faisaient la queue" pour obtenir une signature de l'auteur, a-t-elle précisé.
A peine une demi-heure après s'être installé chez Grasset, BHL a été aspergé de crème chantilly.

Départ précipité, à la deuxième attaque

Selon une autre source présente sur le salon, BHL a tout de suite été protégé par son service de sécurité et le staff des éditions Grasset qui empêchaient les photographes de prendre des clichés.
Bernard-Henri Lévy, qui en est alors à son 6ème "entartage", est allé se débarbouiller et se changer dans le box des éditions Grasset, avant de revenir à ses dédicaces.

Mais à peine avait-il eut le temps de se réinstaller que l'écrivain devait subir une seconde attaque de crème chantilly. Ce fut celle de trop. Selon la source du Quotidien permanent, des "échauffourées" ont alors éclaté, d'une part entre le staff de chez Grasset et les photographes et d'autre part, entre les "entarteurs" et le service de sécurité. Dans la confusion, BHL s'est éclipsé pour un second nettoyage avant de quitter le salon du livre "entouré d'une demi-douzaine" de gardes du corps."



vgl. a. "BHL: septième tarte" (20.03.2006)

Die französische Wikipedia über BHL:

"Bernard-Henri Lévy sera victime de six entartages en Belgique et en France et prendra très mal sa tarte à la crême reçue en 1985, flanquant par terre Noël Godin dit Le Gloupier, pour lui intimer ensuite : « Relève-toi, ou je te pète la gueule à coups de talon ! ». La scène, filmée, a été largement diffusée, notamment par Coluche et Pierre Desproges. Cela lui a également valu une chanson de Renaud, « L'entarté »."

Noel Godin hat nun auch einen Eintrag in der französischen Wikipedia:

"Noël Godin (né à Liège le 13 septembre 1945), dit Georges le Gloupier, est un agitateur anarcho-humoristique belge. Il s'est rendu célèbre pour ses jets de tarte à la crème ou entartages sur de nombreuses personnalités françaises et étrangères. Plusieurs le considèrent comme un Diogène."


Und über das Tortenwerfen wird unter dem Stichwort "Entartage" Enzyklopädisches verlautbart:

"L'entartage est un phénomène consistant à lancer ou le plus souvent, à "écraser" une tarte à la crème (ou plus simplement, une assiette en carton remplie de crème fouettée) à la figure d'une personnalité lors d'un événement public, pour souligner l'absurdité des propos ou des actions de la "victime". Noël Godin s'est illustré dans ce domaine."

Ausserdem gibt es eine nette "Liste des personnes visées".

Aus dem Schwäbischen Tagblatt (17.03.2006):
erfahren wir, dass nicht alle auf den Kopf gefallen sind. Zur "Aufklärung" beigetragen haben dürfte nicht zuletzt eine Anzeige gegen die Kampagne "Du bist Deutschland" - aber ob die Tübinger und Stuttgarter Staatsanwaltschaft überhaupt aufklärbar ist, lässt sich mit Fug und Recht bezweifeln:


Ein Freispruch erster Klasse

Tübinger Landgericht entscheidet in der Berufung: Durchgestrichenes Hakenkreuz ist nicht strafbar


TÜBINGEN. Auch der Oberstaatsanwalt lenkte ein: Freispruch für den jetzt 22-jährigen Studenten, der beim Maisingen 2005 mit einem durchgestrichenen Hakenkreuz demonstriert hatte. Das Tübinger Landgericht hat gestern seiner Berufung stattgegeben: Im November hatte das Amtsgericht gegen ihn, wie berichtet, wegen „Verwendung von Kennzeichen einer verfassungswidrigen Organisation“ eine Verwarnung unter Strafvorbehalt ausgesprochen. Die Tübinger Staatsanwaltschaft akzeptiert den Freispruch - und will bis zu einer „obergerichtlichen Klärung“ solche Buttons hier nicht mehr ahnden (siehe das ÜBRIGENS).


Das Amtsgerichtsurteil löste ein bundesweites Medienecho aus. Insbesondere die Stuttgarter Staatsanwaltschaft ging seither in ähnlichen Fällen rigide vor, bestätigt von Staatsschützern am Stuttgarter Landgericht. In Tübingen bekam ein anderer Fall Präzedenz-Charakter. Das hiesige Landgericht entschied zum Jahreswechsel: Der Faire Kaufladen darf derartige Buttons verkaufen, denn deren ablehnende Haltung sei eindeutig.

Die gestrige Berufungsverhandlung wurde wegen des Andrangs in den Schwurgerichtssaal verlegt. Der 22-Jährige studiert in Tübingen Politik und Geschichte mit Schwerpunkt Nationalsozialismus. Den Button hatte er auf einem Ostermarsch gekauft. „Ich hatte ihn die ganze Oberstufe am Rucksack. Mir war nicht klar, wie man das missverstehen kann.“ Laut Anwalt Burkhard Gaedke malte in der NS-Zeit Widerständler Hans Scholl durchgestrichene Hakenkreuze auf Wände - damals eine eindeutige Aktion. Gaedke mutmaßte: „Teile der Justiz besinnen sich auf ihre schlechte Tradition. Hier wird versucht, die zu kriminalisieren, die offen gegen Nazis auftreten.“

„Auch wir Staatsanwälte lernen im Verfahren. Nicht jede plakative Äußerung ist glücklich und hilfreich“, meinte Oberstaatsanwalt Michael Pfohl. Er hatte sich in erster Instanz um japanische Touristen gesorgt, die solche Symbole missverstehen könnten. Pfohl pochte aber auf die Absicht des Paragraphen 86a Strafgesetzbuch: Dieser solle verhindern, dass sich NS-Symbole wieder einbürgern. „Eine Gratwanderung, die Grenzziehung ist problematisch.“ Denn die rechtsradikale Szene sei sehr variabel, greife solche Urteile auf. Doch die Tübinger Staatsanwaltschaft halte sich an die („sehr optimistische“) Entscheidung zum Fairen Kaufladen, bis die Rechtslage geklärt sei. Das wolle man in einem Stuttgarter Verfahren am Oberlandesgericht. Mittlerweile sehe auch die Landes-Generalstaatsanwaltschaft, dass unterschiedliche Auffassungen vertretbar seien. Im Fall des Studenten beantragte Pfohl wie der Verteidiger Freispruch.


Warnend, nicht werbend
Die Strafkammer folgte. "Es gibt Auslegungsprobleme", so Richter Helmut Hille-Brunke. Doch hier müsse man das durchgestrichene Hakenkreuz "eindeutig im ablehnenden Sinn verstehen". Es solle damit "nicht geworben, sondern gewarnt werden". Mancherorts weisen Behörden darauf hin, solche Protestformen seien nicht strafbar" was für den Beschuldigten sprach: "Selbst wenn er sich vorher erkundigt hätte, hätte er abweichende Auskünfte erhalten."

Nach Ansicht der Kammer ist Paragraph 86a nicht eindeutig - etwa bei Verfremdungen, Abweichungen, Karikaturen. Es sei freilich sinnvoll, Hakenkreuze aus dem öffentlichen Leben zu verbannen - zumal die rechte Szene erfindungsreich vorgehe. Abschließend richterliches Lob für den engagierten Studenten, der unter Beifall den beschlagnahmten Button wieder in Empfang nahm.

INFO Vorsitzender Richter: Helmut Hille-Brunke; Schöffen: Reinhard Bott, Anton Hellstern; Oberstaatsanwalt: Michael Pfohl; Verteidiger: Burkhard Gaedke.




--

Seit zwei Jahren ist die Kampagne "Raubkopierer sind Verbrecher" der deutschen Filmwirtschaft mit Spots, Print-Motiven und spektakulären Aktionen präsent. 2006 wird die Kampagne auch in Österreich übernommen: Die "Allianz für die österreichische Musikindustrie", der "Verband für die österreichische Softwarewirtschaft" und die "Austrian Film Alliance" haben sich zum Konsortium ZKM zusammen- geschlossen, um auch hierzulande den raubkopierenden Massen den Krieg zu erklären!

hartabergerecht


"Wir werden die Raubkopierer aus den dunklen Höhlen der Anonymität ins Licht der Öffentlichkeit zerren!"

- Christian Schober,
Verband für die östereichische Musikindustrie
(Wien, 18. November 2005)


Im November 2003 hat sich die deutsche Filmwirtschaft unter dem organisatorischen Dach der Zukunft Kino Marketing GmbH (ZKM) zusammengeschlossen und die Kampagne "Raubkopierer sind Verbrecher" ins Leben gerufen. Doch auch hierzulande bedrohen die verbrecherischen Machenschaften der Raubkopierer den Absatz unserer Produkte. Auch in Österreich bringt das digitale Zeitalter für uns als kreative Industrie vor allem eines mit sich: düstere Perspektiven. Um dem entgegen zu wirken, erklären wir auch in Österreich ab 2006 der Raubkopiererei den Krieg!

Diesen "Krieg gegen die Raubkopiererei" werden wir auf zwei Fronten führen: Auf der Ebene des Marketings genau so wie an der Front der kompromisslosen und unbarmherzigen juristischen Verfolgung.

Die betroffenen Verbände haben sich zum Konsortium ZKM zusammengeschlossen, um vereint gegen die Missachtung des geistigen Eigentums vorzugehen und die Stimme zu erheben für Kreativität und Kultur. Wir müssen und werden ein für allemal klarstellen: Wir schaffen Kreativität und Kultur, die Raubkopierer hingegen zerstören Kreativität und Kultur! Hiezu werden wir mit neuen Ideen und Strategien gegen diesen "organisierten Diebstahl" vorgehen. Mit provokanten und ironischen Slogans und Motiven ebenso wie mit Polizeirazzien und Gefängnisaufenthalten. Mit viralem Marketing ebenso wie mit viralen Technologien zur Überführung der Copyright-Verbrecher unter den Konsumenten.

Ob in Volksschulen, Universitäten oder Pensionistenheimen - auch im digitalen Zeitalter muss gelten: Diebstahl bleibt Diebstahl.

ZKM - Hart aber Gerecht 2006

NOT COVERED: AktivistInnentreffen zur Situation der Gegenöffentlichkeit heute.
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PROGRAMM:Freitag, 10.03.06
16.00-19.30 Uhr mit: bankleer, Cine Rebelde, Daniel García Andújar (e-barcelona.org), Indymedia, Kanak TV, laborB* und Gabi Kellmann (hybrid video tracks)

19.30-21.00 Uhr: Vlogs – Chancen für kritische Filmberichterstattung im Netz? Einführung: Init (lotec/so36.net) und Lorenz (Medienkombinat Berlin).

PROGRAMM, Samstag, 11.03.2006
16.00-21.00 Uhr mit: Normale, Offener Kanal Berlin, Off-Filmtage, One World Berlin, Toni Serra (Observatory Archives OVNI) und Gabi Kellmann (hybrid video tracks)

ab 21.00 Uhr: Open Screening - VideoaktivistInnen

mehr infos: https://www.barriochannel.tv


Alternativer Kunstverein ACUD e.V. - In der Galerie -
Veteranenstraße 21
10119 Berlin-Mitte

Fon: 030-449 10 67
Fax: 030-448 39 61


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NOT COVERED präsentiert internationale Projekte, die sich unter Aneignungen neuer Medientechnologien und Medienpraxen eine "eigene" Öffentlichkeit schaffen. Mit AktivistInnen und Projekten, die von verschiedenen Ländern, Orten und Handlungsräumen aus agieren, soll die Vorstellung von Gegenöffentlichkeit heute diskutiert werden. Was sind die Bedingungen um durch "eigene" Distributionskanäle und Kommunikationsstrukturen eine (Gegen)-Öffentlichkeit zu schaffen? Was genau ist Gegenöffentlichkeit heute, wo wir von vielen verschiedenen Gruppierungen sprechen die unabhängig voneinander bestehen?

Oft wird von den Medien in einer Weise gesprochen, als seien sie die Öffentlichkeit selbst: NOT COVERED kommt zusammen, um über die globalen/ lokalen Bedingungen solcher Mediennutzung zu diskutieren. Wo sind diese Medien im sozialen und kulturellen Handlungsraum positioniert und welche neuen Perspektiven eröffnen sich? Welche Rolle spielen Vernetzungen, und wie verhalten diese sich zu Medien-Imperien?

Die Situation hat sich verändert, wie Carsten Does feststellt: „ ... eine Sphäre von Gegenöffentlichkeit, wie sie sich noch in den 70er Jahren zumindest ansatzweise aus den vielfältigen Strömungen der neuen sozialen Bewegung herausbilden konnte, hat sich heute weitestgehend in miteinander unverbundene Kleinst-Scenen, Subkulturen, Interessensgruppen und Teilöffentlichkeiten aufgelöst.“

Die unheimliche Menge an verfügbaren Informationen im Netz weist eine Tendenz von „schrumpfenden“ Gruppierungen auf. Auf der einen Seite könnte man von einer Dezentralisierung oder Zerstreuung sprechen und auf der anderen Seite von einzelnen Informationspools, die gezielter und konzentrierter agieren. „e-valencia.org“ und

„e-barcelona.org“ sind als Nachrichtennetzwerke zu kulturpolitischen Themen mit so genannter Weblog-Struktur, als Online-Journale, ein gutes Beispiel für ein dezentrales Kommunikationsmodell. Die Leser können ihre Meinung zu den Artikeln äußern und auch untereinander diskutieren. Das Projekt hat in letzter Zeit eine große Resonanz bekommen und fungiert als eines der zentralen Kulturnachrichtenarchive in den jeweiligen spanischen Städten.

Das Projekt „Observatory Archives OVNI“, ein Filmarchiv und Filmfestival, das in enger Partnerschaft mit dem CCCB (Zentrum für zeitgenössische Kultur Barcelona) arbeitet, steht als Beispiel für eine Kooperation zwischen einer etablierten Institution und einem „alternativen“ Projekten.

In Panel-Situationen werden Projekte die auf eine ähnliche Art und Weise und mit verwandten Themen und Interessen agieren in der Präsentation zusammenkommen. Um eine produktive Diskussion voranzutreiben haben wir uns für eine offene Struktur der Veranstaltung entschieden, die auch Raum für individuelle Präsentationen und Kommunikation zulässt. Der Schwerpunkt liegt auf der Befragung von "(Gegen)-Öffentlichkeit" heute im Kontext von Film, Video- und Medienaktivismus.

Wer auch immer Google regelmäßig bei der Füllung von Wissenslücken nutzt, stösst zwangsläufig auf die Wikipedia.

Hier wird Wissen von "Wissenden" vermittelt.
Zu Deutsch: Jeder darf "Wissen" publizieren. Für die Richtigkeit wird nirgends eine Gewähr übernommen. Da sich selten jemand die Mühe macht, die Realität und Richtigkeit dieser Informationen zu prüfen, wird immer mehr Halb- und Falschwissen mit der (eigentlich extrem positiven) Wikipedia-Idee verbreitet.

Der große, alte UnbekannteUm auf diesen Missstand hinzuweisen wurde wikifake.blogspot.com ins Leben gerufen. Eine Page, die eine laufende Unterwanderung der Wikipedia dokumentiert. Hierbei wird die Geschichte um eine historische Persönlichkeit erweitert, die es (leider?) nie gegeben hat, um letztlich das ganze Projekt offenzulegen und den Nutzern aufzuzeigen, wie oft Vertrauen in Information unberechtigt ist.
Wir werden sehen, wohin das führt.

 

twoday.net AGB

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